Le Scandale de l’Affaire Dreyfus.

Emile Zola était un avocat et homme politique français (1841-1929), célèbre pour avoir défendu Alfred Dreyfus lors de ses différents procès entre 1894 et 1906 Emile Zola était un romancier et journaliste français du 19ème siècle (1840-1902), célèbre pour ses romans qui décrivaient les conditions de vie difficiles des ouvriers et des travailleurs les plus pauvres. Emile Zola était un dessinateur et caricaturiste français (1858-1909), célèbre pour ses dessins satiriques notamment sur l'affaire Dreyfus

cet article a été publié le 13 janvier 1894 dans le journal Le Figaro et il était adressé au président de la République Félix Faure cet article a été publié le 13 janvier 1898 dans le journal L'Aurore et il était adressé au président de la République Félix Faure cet article a été publié le 13 janvier 1906 dans le journal L'Humanité et il était adressé au président de la République Félix Faure

Emile Zola prenait la défense du capitaine Dreyfus en expliquant qu'il avait été victime d'une machination judiciaire (condamné volontairement à la place du vrai coupable) Emile Zola accusait violemment le capitaine Dreyfus d'espionnage en expliquant qu'il devait être condamné à la prison à vie, voire même à la peine de mort Emile Zola prenait la défense du capitaine Dreyfus en expliquant qu'il avait été victime d'une erreur judiciaire (les autorités militaires s'étaient trompées de coupable)

Emile Zola accusait surtout des officiers secondaires (lieutenants, capitaines...) car, selon lui, les officiers les plus importants n'étaient pas au courant de cette affaire Emile Zola accusait les officiers les plus importants de l'armée française (généraux, colonels...) d'être complices de cette affaire

Alfred Dreyfus a été accusé de trahison et d'espionnage militaire en faveur de l'Angleterre. Il a été condamné à la dégradation militaire et une peine de 20 ans de prison (au bagne de l'île du Diable) Alfred Dreyfus a été accusé de trahison et d'espionnage militaire en faveur de la Russie. Il a été condamné à la dégradation militaire et une peine de 30 ans de prison (au bagne de l'île du Diable) Alfred Dreyfus a été accusé de trahison et d'espionnage militaire en faveur de l'Allemagne. Il a été condamné à la dégradation militaire et à la prison à vie (au bagne de l'île du Diable)

en 1896, le général Mercier est identifié comme le véritable coupable mais l'armée refuse de reconnaître son erreur et l'innocence de Dreyfus en 1896, le colonel Picquart est identifié comme le véritable coupable mais l'armée refuse de reconnaître son erreur et l'innocence de Dreyfus en 1896, le commandant Esterhazy est identifié comme le véritable coupable mais l'armée refuse de reconnaître son erreur et l'innocence de Dreyfus

En 1898, l'écrivain Emile Zola prend publiquement la défense de Dreyfus. En 1899, l'armée refuse une fois plus d'ouvrir un nouveau procès. En 1898, l'écrivain Emile Zola prend publiquement la défense de Dreyfus. En 1899, il obtient un nouveau procès mais Dreyfus est à nouveau condamné. En 1898, l'écrivain Emile Zola prend publiquement la défense de Dreyfus. En 1899, il obtient un nouveau procès et Dreyfus est enfin reconnu innocent.

En 1906, un nouveau procès devant la cour de cassation reconnait l'innocence de Dreyfus et décide sa réintégration dans l'armée. En 1906, Alfred Dreyfus meurt en prison (sur l'île du Diable) et son affaire ne sera jamais rejugée. En 1906, un nouveau procès devant la cour de cassation confirme définitivement la condamnation de Dreyfus mais il obtient une grâce présidentielle et il est libéré de prison.

ils étaient les partisans d'Alfred Dreyfus : ils étaient convaincus de son innocence et ils réclamaient sa libération ils étaient les accusateurs Alfred Dreyfus : ils étaient convaincus de sa culpabilité et ils ne voulaient surtout pas qu'il soit libéré

ils étaient les accusateurs Alfred Dreyfus : ils étaient convaincus de sa culpabilité et ils ne voulaient surtout pas qu'il soit libéré ils étaient les partisans d'Alfred Dreyfus : ils étaient convaincus de son innocence et ils réclamaient sa libération